Cela commence par une visite à la galerie de Bellinda, une artiste français dans RL, très inspirée par le pop art.
Son art constite à créer le contenu de petites boîtes imaginaires. Couleurs très vives, une imagination inspirée par les jouets, le monde de l’enfance.
Puis téléportation jusqu’au point de rencontre de la Romandie, la BCV Island. L’île comporte un grand rocher, en forme de pain de sucre et le bâtiment de la Banque cantonale vaudoise virtuelle se détache subtilement du paysage. Fait d’éléments aux textures bleues et vertes transparentes, c’est une réussite dans le domaine de l’architecture virtuelle.
L’accueil est convivial. Le rez-de-chaussé est consacré à la présentation de la banque. Quant à l’étage supérieur, il constitue le musée. On peut y découvrir des oeuvres provenant de la collection de la BCV, exposées selon une muséographie classique, mais pleine de sérénité. Voilà au moins un exemple où le choix a été fait de présenter une collection sous sa forme numérique.
Pour en savoir plus: http://www.bcv.ch/html/apropos/medias/0 … ur-sl.html (communiqué de la BCV)
Retour à Colonia, pour montrer l’exposition sur les dieux grecs de l’amour à des compatriotes. Quand ce fut l’heure d’aller au lit, j’ai quitté ma maisonnette et j’ai traversé le forum. Et c’est là que je l’ai vu. Oui, ce n’est pas une légende. Les journalistes romands en ont parlé sans jamais le croiser et moi je me retrouve nez à nez avec lui: ADAM REUTERS. On ne résiste pas à la tentation de faire une petite photo.
Adam Reuters sur le Forum de Colonia Nova, se rendant à une conférence dans l’Auditorium.
Pour terminer, déconnection avec, sous les yeux, le magnifique tableau acquis à la galerie de Bellinda.