le second jour de la Conférence Lift Commence par une Session consacrée à la résilience. La question de fond est de savoir comment une organisation peut gérer la volatitité, l’incertitude, la complexité et l’ambiguïté qui sont les caractéristiques du monde actuel.
Selon Venkatesh Rao, il faut reprendee le modèle du renard tel qu’il est décrit dans de nombreux contes et qui s’ oppose au modèle du hérisson. Il faut construire sur les contradictions et non sur des valeurs. Il faut préserver la mémoire, plutôt que de se baser sur son identité pré-établie. A l’amour, il faut préferer l’aventure. Ainsi des valeurs, une identité, la vérité et l’amour vont finir par émerger.
Noah Raford commence par expliquer qu’il est difficile de prédire le futur dans Un monde complexe. L’anticipation est essentiel: un joueur de hockey dit qu’il est important de voir où le puck sera et non pas où il est. Cela demande de la souplesse d’esprit. Il faut se demander ce qui va changer, imaginer des scénarios et prévoir des ressources. Les modèles mentaux doivent être synchronisés. Une trop grande confiance peut être dommageable. Il faut être capable de percevoir le présent. Il vaut mieux être surpris par des simulations qu’aveuglé par la réalité. Le Web change la manière dont nous pensons les prédictions, grâce aux médias sociaux et au crowdsourcing. C’est plus rapide et cela coûte moins cher. Il y aussi des outils permettant de visualiser la complexité.
Konstantina Zoehrer raconte comment elle a décidé de quitter la Grèce et comment elle y est revenue pour travailler au (re) développement du pays suite à la crise qui y sévit. Elle nous invite à changer le regard que nous portons sur la réalité. crise doit être vue comme la possibilité d’induire des changements.
Les conférenciers de ce matin nous invitent à changer nos modèles mentaux pour être capables de nous adapter dans un monde complexe en perpétuelle mutation.
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